Le squale, 2,90m et environ 200 kilos selon nos confrères, a été pêché dans le cadre du dispositif mis en place suite à l’attaque survenue samedi 27 août à Boucan Canot. Il a été remis aux scientifiques afin d'être disséqué.
Le dispositif de pêche se poursuit et devrait se conclure ce mardi soir. Il couvre la zone des Roches Noires jusqu'au Cap La Houssaye. Le précédent prélèvement datait du 11 août, à 6h15. D'après les informations d'info-requin, un bouledogue mâle de 2,20 mètres avait été pêché à Trois bassins, dans le cadre de Cap Requins 2. Au total, ce sont près de 50 squales qui ont été prélevés depuis le début de l'année 2016.
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Boucan Canot: Un requin bouledogue de 2m90 prélevé lundi soir
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Le Medef à l'heure de la campagne présidentielle pour son université d'été
.. Le Medef ouvre mardi sa 18ème université d'été avec la volonté de s'immiscer dans le débat électoral, à neuf mois de la présidentielle."Y croire et agir": voilà le mot d'ordre fixé par la principale organisation patronale pour son grand raout de rentrée, qui réunira durant deux jours près de 5.000 participants à Jouy-en-Josas (Yvelines), sur le campus d'HEC.Après un premier semestre marqué par de nombreuses passes d'armes avec le gouvernement, notamment à propos de la loi travail, il y a la volonté de "se tourner vers l'avenir" pour "réfléchir aux grandes échéances qui nous font face", explique le Medef."L'université d'été va se tenir dans un contexte de forte actualité politique", détaille un porte-parole du mouvement de Pierre Gattaz, qui souligne que "la campagne pour les primaires va s'accélérer"."On souhaite profiter de cette rentrée pour inviter les principaux candidats à se positionner sur les questions économiques", et "comprendre ce que chacun a comme vision et comme projet", ajoute-t-il.Plusieurs candidats à l'élection présidentielle sont ainsi annoncés, principalement à droite. Parmi eux: Nicolas Sarkozy et Alain Juppé, qui s'exprimeront tous deux lors de "plénières politiques" mercredi, sans toutefois se croiser.L'ancien chef de l'Etat, qui a officialisé sa candidature à la primaire lundi, n'était plus venu au rendez-vous annuel du Medef depuis 2007, année de son élection. Le maire de Bordeaux, présent en 2013 et 2014, est quant à lui un habitué de l'événement.Outre ces deux candidats, les patrons présents sur le campus d'HEC pourront entendre Bruno Le Maire, qui participera au même débat que Nicolas Sarkozy, et François Fillon. L'ex-Premier ministre, qui défend le programme le plus libéral, prendra la parole mardi.- patrons du CAC 40 et personnalités -Côté majorité, les personnalités seront en revanche plus rares. Seule une candidate à la primaire de la gauche, Marie-Noëlle Lienemann, représentante de l'aile gauche du PS, a prévu de faire le déplacement.Comme en 2015, la présence du gouvernement sera également réduite, avec cinq ministres ou secrétaires d'Etat annoncés, dont Emmanuel Macron, au lieu d'une douzaine certaines années.Le ministre de l'Economie, qui entretient le doute sur ses ambitions pour 2017, avait suscité la polémique l'an dernier, en critiquant les 35 heures et en égratignant la gauche, et sera donc écouté avec attention cette année.L'université d'été du Medef sera également l'occasion d'entendre plusieurs patrons du CAC 40, dont Gérard Mestrallet (Engie), Jean-Dominique Senard (Michelin), Stéphane Richard (Orange) et Jean-Pierre Clamadieu (Solvay).Des personnalités extérieures au monde de l'entreprise, enfin, seront de la partie, à l'image de l'ex-entraîneur de football Guy Roux, de la co-lauréate tunisienne du prix Nobel de la paix 2015, Wided Bouchamaoui, du philosophe Luc Ferry, ou de Latifa Ibn Ziaten, mère de l'une des victimes de Mohamed Merah."L'objectif, c'est de se porter vers l'avant, de voir comment on fait pour retrouver une vraie croissance et créer de l'emploi", précise le porte-parole du Medef. Une tonalité qui devrait marquer le discours de Pierre Gattaz, prévu mardi après-midi."Ce sera l'occasion de faire passer un message d'optimisme, de montrer le verre à moitié plein", malgré "le contexte d'attentats" et "les difficultés économiques et sociales" du moment, souligne-t-on.Un mot d'ordre qui se déclinera sous forme de thématiques variées, à l'occasion de conférences-débat au ton très politique: "les valeurs de la République", "le mérite récompensé", "l'Europe à reconstruire", ou encore "on a tous droit à une deuxième chance".Par Jung Ha-Won - © 2016 AFP
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Climat: Fabius, ex-président de la COP21, inquiet pour l'accord de Paris
"A l'immense satisfaction d'avoir réussi, en décembre 2015, la conférence mondiale de Paris sur le climat succède aujourd'hui chez moi, comme chez beaucoup d'autres, une inquiétude", écrit-il, dans une tribune publiée mardi dans le Monde.fr.Parmi "les difficultés majeures", figure le problème de la non ratification de l'accord de Paris sur le climat par les 5 premiers émetteurs mondiaux de CO2 (la Chine, les Etats-Unis, l'Union européenne, l'Inde et la Russie), souligne-t-il.Aux termes de l'accord signé en décembre, la communauté internationale s'est engagée à limiter le réchauffement de la planète "bien en-deçà" de 2°C, par rapport au niveau pré-industriel. Au moins 55 pays représentant 55% des émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES), responsables du réchauffement, doivent ratifier l'accord pour qu'il entre en vigueur comme prévu à compter de 2020.Mais à ce stade "nous en sommes à moins de 2%" souligne M. Fabius, qui dénonce également "des discours incroyablement rétrogrades entendus récemment, par exemple, aux Etats-Unis ou aux Philippines".L'ancien président de la COP21, aujourd'hui devenu président du Conseil Constitutionnel, milite pour la mise en place d'un "pacte universel pour l'environnement", reconnaissant "le droit à un environnement sain" pour chaque personne."Seule une action volontariste, mondiale, rapide et multiforme peut encore éviter la tragédie" écrit-il, avant d'inviter les pays signataires de l'accord à "accélérer" les actions contre le réchauffement climatique.Par Jung Ha-Won - © 2016 AFP
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Crise du lait: 3ème session de négociations à Laval
La réunion a débuté peu après 07h00 à la préfecture de Mayenne, à Laval, en présence de trois représentants de Lactalis dont le porte-parole du groupe, Michel Nalet, de cinq représentants des producteurs dont Sébastien Amand, vice-président de l'Organisation de producteurs Normandie Centre, Jean-Michel Yvard président de l'organisation des producteurs du grand Ouest, et du préfet de la Mayenne, Frédéric Veaux."Tous les règlements de compte, on les a faits la semaine dernière donc maintenant si on se réunit c'est pour avancer concrètement", a averti Sébastien Amand. Après l'échec des négociations entamées jeudi à la Maison du Lait à Paris puis vendredi à Laval, de nouveaux échanges "off" ont eu lieu et "permettent de penser que ça va être nettement mieux dans les propositions", a-til assuré.Du côté des Organisations de producteurs (OP), aucun chiffre sur le prix "juste" du lait n'a été avancé. "Trop tôt", selon M. Amand.Lundi le secrétaire général de la FNSEA Dominique Barrau n'avait pas donné "de recommandation précise" sur le prix, laissant juges sur ce point les Organisations de producteurs qui participent aux négociations."Je crois que Lactalis, c'est une société internationale qui a magnifiquement réussi et qui se trouve confrontée à un problème de prix du lait dans le monde. Et donc on a des producteurs français qui malheureusement ont des charges de coût du travail élevées", a considéré le patron du Medef Pierre Gattaz sur Europe 1.-"Détresse sociale et économique"-Calmes mais déterminés, les producteurs ont multiplié dans la soirée de lundi des protestations sur tout le territoire, telle l'action "coup de poing" menée dans le Cantal, à Riom-ès-Montagnes où une quarantaine d'agriculteurs ont déversé du fumier devant une usine Lactalis.Dans la Loire, une vingtaine de manifestants poursuivaient mardi le blocage de l'usine Lactalis d'Andrézieux-Bouthéon. "On attend la relève et on va rester au moins jusqu'à ce soir", a déclaré à l'AFP Michel Joux, président de la FRSEA Auvergne-Rhône-Alpes, selon lequel "aucun camion ne peut sortir ou entrer dans le site". Lundi soir ils avaient déversé du fumier sur la route d'accès à l'usine et brûlé des pneus, a expliqué le syndicaliste.Dans le Maine-et-Loire, une trentaine de producteurs poursuivaient, tôt mardi matin, le blocage de l'accès du site Lactalis de Saint-Florent-le-Vieil à l'aide de tracteurs. Des tentes et des barbecues ont été installés "comme à Laval, pour tenir le siège", a indiqué Jean-Marc Lézé, président de la FRSEA des Pays de la Loire. Près de Rennes, le sit-in entamé lundi après-midi devant la plate-forme logistique de Lactalis à Cesson-Sévigné se poursuivait mardi matin. Sept tracteurs bloquaient l'entrée. Des actions de déréférencement de produits Lactalis sont par ailleurs prévues dans des supermarchés de la Sarthe et du Maine-et-Loire.Dans l'Orne, des opérations de "stickage" (pose d'autocollants portant des slogans anti-Lactalis sur les produits du groupe) en supermarché sont en cours à Alençon, Domfront, La Ferté Macé, Flers et Argentan.Dans le sud-ouest, un seul rassemblement était prévu devant l'usine Lactalis de Montauban (Tarn-et-Garonne). Dans ce contexte tendu, le géant laitier a appelé lundi soir "au calme et à la responsabilité de tous", disant s'interroger "sur la surenchère d'actions orchestrée par la FNSEA"."La détresse sociale, la détresse économique dans les exploitations est conséquente et elle est palpable", a souligné M. Amand.Outre le prix du lait, la réunion de ce mardi doit porter sur les modalités de fixation du prix du lait pour l'avenir, a-t-il précisé. L'issue des négociations, qui doivent durer au moins jusqu'à midi, selon le porte-parole de Lactalis, demeure incertaine. En cas de troisième échec, les OP avancent déjà "une réunion supplémentaire".Par Jung Ha-Won - © 2016 AFP
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Gabon: les résultats de la présidentielle annoncés dans la journée
Intialement prévue à 17h00 (16h00), elle devrait être retardé : dans un communiqué, la Cénap a annoncé mardi qu'elle se réunirait "à partir de 19H00".Ex-baron du régime du président Omar Bongo, opposant tardif après l'élection de son fils Ali en 2009, Jean Ping, 73 ans, prétend renverser la famille au pouvoir depuis 1967 dans une région, l'Afrique centrale, où l'alternance politique est exceptionnelle."Nous maintiendrons l'ordre", affirme le pouvoir, "Nous ne nous laisserons pas voler notre victoire", répètent les pro-Ping : les risques de troubles urbains sont réels dès l'annonce des résultats, puisque les deux camps revendiquent déjà la victoire."Je suis élu", a lancé dimanche Jean Ping, alors que le président-candidat attend "sereinement" les résultats. Son porte-parole a cependant affirmé dès samedi soir qu'Ali Bongo était "en tête avec une avance qui ne peut plus s'inverser".Habitués à la paix civile, les Gabonais n'ont pas oublié qu'en 2009, des violences post-électorales avaient éclaté à Port-Gentil la capitale économique (morts, pillages, couvre-feu, consultat de France incendié...).- Esprits surchauffés -de la victoire de Jean Ping, ses partisans préviennent qu'ils n'accepteront pas d'autre verdict: "Les esprits sont déjà surchauffés. Tous ces jeunes ne se laisseront pas faire", prévient un proche de Ping."Nous savons que des violences se préparent dans certains quartiers", confiait à l'AFP avant le vote une source gouvernementale, affirmant avoir identifié les meneurs.Réclamant "l'alternance", des électeurs pro-Ping ont aussi égréné un chapelet de doléances dans ce petit pays pétrolier frappé par la chute des cours du baril: "pas d'emplois pour les jeunes", "accès difficiles aux médicaments", "routes à moitié construites", coupures d'eau et d'électricité...Ali Bongo, 57 ans, a défendu son bilan avec des "investissements sans précédent" et la diversification de l'économie, en promettant "l'égalité des chances" et de faire mieux pour le logement.En face, Jean Ping, ex-patron de l'UA, a mené sa campagne en deux temps. Jusqu'à fin juillet, il a demandé avec une grande partie de l'opposition l'invalidation de la candidature d'Ali Bongo, au motif qu'il serait un enfant du Nigeria adopté par Omar Bongo.Coup d'éclat mi-août: le métis sino-gabonais rallie à sa cause deux autres candidats et poids lourds politiques, l'ex-Premier ministre Casimir Oye Mba et l'ex-président de l'Assemblée pendant 20 ans, Guy Nzouba Ndama. Finie l'émiettement de l'opposition, le rapport de force, crucial pour un scrutin à un tour, s'est rééquilibré.- Parenthèse civique -Le jour de vote, sans incident majeur, a été une parenthèse civique entre une campagne délétère et des accusations de fraudes qui ont fusé dès la fermeture des bureaux."Je félicite les électeurs gabonais, qui ont exprimé leur volonté démocratique dans un processus dont la gestion a manqué de transparence", a commenté lundi la chef de la mission des observateurs de l'Union européenne (UE) Maryia Gabriel.Le gouvernement gabonais a surtout retenu les quelques satisfecits au milieu d'une déclaration de l'UE souvent sévère: "scrutin dans la paix et le calme, sans incident majeur, et secret du vote garanti".Passionnant l'Afrique francophone, l'élection au Gabon intéresse évidemment la France, l'ex-puissance coloniale qui compte encore 10.000 ressortissants sur place.M. Ping a été reçu à l'ambassade de France dimanche à Libreville. A Paris, le Parti socialiste (PS, au pouvoir) a prévenu qu'il "serait d?une extrême vigilance" à l'heure des résultats."Voilà plus d?un demi siècle que la famille Bongo gouverne le Gabon. Une alternance serait signe de bonne santé démocratique et un exemple", ajoute le PS. "Ingérence et néo-colonialisme", dénonce le porte-parole d'Ali Bongo.Ce communqiué a enflammé la presse gabonaise mardi. Le quotidien national L'Union dénonçait une "intervention scandaleuse et délirante dans les affaires intérieures du Gabon". La presse d'opposition, elle, exultait. "Le parti socialiste français reconnaît la victoire de Ping", titrait en une La LoupePar Jung Ha-Won - © 2016 AFP
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ONU: les arrêtés anti-burkini en France favorisent la "stigmatisation"
"Ces décrets n'améliorent pas la situation sécuritaire; ils tendent au contraire à alimenter l'intolérance religieuse et la stigmatisation des personnes de confession musulmane en France, en particulier les femmes", a indiqué le bureau de Haut-Commissaire dans un communiqué.Par Jung Ha-Won - © 2016 AFP
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Un joueur de football américain divise les Etats-Unis
La polémique a pris une dimension nationale, Donald Trump qualifiant lundi d'"exécrable" la posture de Kaepernick, lui conseillant de "chercher un pays mieux adapté". Que reproche exactement le candidat républicain pour la Maison Blanche au meneur de jeu des San Francisco 49ers? D'être resté assis tandis que retentissaient les notes de "La Bannière étoilée" dans le Levi's Stadium, où son équipe accueillait vendredi soir les Green Bay Packers. La tradition veut que joueurs, entraîneurs et spectateurs se lèvent et se découvrent la tête pour entonner l'hymne, regard tourné vers le drapeau, dans un moment de communion patriotique. Mais Colin Kaepernick, métis de 28 ans, n'a pas quitté sa chaise, souhaitant ainsi protester contre "l'oppression" de la communauté noire aux Etats-Unis.La Maison Blanche s'est clairement démarquée du sportif, en lui reconnaissant toutefois le droit de proférer ses opinions."Je ne vais pas afficher de fierté pour le drapeau d?un pays qui opprime les Noirs", a justifié le quarterback, dont le père biologique était noir mais qui a été adopté et élevé par un couple de Blancs.Le joueur a explicitement fait référence à de récents abus policiers ayant causé la mort brutale de Noirs non armés: "Il y a des cadavres dans les rues et des meurtriers qui s'en tirent avec leurs congés payés".Dans un pays où la liberté d?expression est protégée par le premier des amendements constitutionnels, Kaepernick n'a que répété ce que nombre d'artistes ou militants dénoncent.- L'exemple LeBron James -Quant à la teneur de son propos, il a simplement emboîté le pas à d'autres joueurs professionnels luttant contre les discriminations raciales ou la violence des armes à feu, parmi lesquels les stars du basket-ball Dwyane Wade, LeBron James ou Carmelo Anthony. Mais, contrairement à ces piliers de la NBA, Kaepernick a délivré son message à un moment très sensible. Aux Etats-Unis on ne s'attaque pas impunément au Stars and Stripes (le drapeau) ou au Star-Spangled Banner (l'hymne national). La chanteuse Sinead O?Connor en avait fait les frais en 1990, excluant de se produire dans le New Jersey si l'hymne américain était joué en préambule. L'Irlandaise avait été la cible d'une campagne de rejet, bannie par plusieurs radios. Un quart de siècle plus tard, Colin Kaepernick se retrouve vilipendé sur les réseaux sociaux, des Américains exigeant de la Ligue nationale de football américain (NFL) sa suspension, voire son licenciement. - Autodafé de maillot -Des internautes se sont filmés en train de brûler le maillot du quarterback, qui avait pourtant conduit San Francisco jusqu'au Super Bowl 2013 (défaite contre Baltimore 34-31).Pour l'instant, le joueur aux bras tatoués semble pouvoir compter sur le soutien de son club. "Nous reconnaissons le droit à tout individu de choisir de participer, ou non, à la célébration de notre hymne national", ont fait savoir les 49ers, qui ont remporté le Super Bowl à cinq reprises. Mais, au regard de précédents historiques, Colin Kaepernick peut s'attendre à naviguer en mer agitée un bon bout de temps. D'autant qu'il a promis de continuer à s'asseoir pour les prochains matches. Né Chris Jackson et converti à l'islam, l'ancien pro de la NBA Mahmoud Abdul-Rauf avait aussi refusé de saluer le drapeau lors de la saison 1995-1996. Suspendu pour une rencontre, il avait vu sa relation avec le public se détériorer irrémédiablement. Kaepernick suivra-t-il le même chemin? Y compris dans sa famille du football américain, son attitude divise. Chanter debout l'hymne national "est l'occasion de témoigner son respect à ceux qui servent le pays", a affirmé Rex Ryan, le coach des Buffalo Bills, une équipe de l'Etat de New York. Avant Kaepernick d'autres champions porteurs d'un message politique ont connu la controverse, voire la déchéance. Inhumé en juin entouré d'hommages planétaires, la légende de la boxe Mohamed Ali avait payé de plusieurs années d'interruption de carrière son refus d'aller combattre au Vietnam. Egalement gravés dans la mémoire collective sont les poings gantés de noir de Tommie Smith et John Carlos, sur le podium du 200 mètres des jeux Olympiques de Mexico de 1968. Ces deux athlètes, dénonçant la ségrégation raciale théoriquement abolie mais encore bien présente alors, ont été boycottés par les médias et honnis durant des décennies, avant d'être réhabilités tardivement.Par Jung Ha-Won - © 2016 AFP
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Libye: les derniers stocks d'armes chimiques transportés hors du pays
23 réservoirs d'armes chimiques ont quitté le port de Misrata, sur la côte libyenne, a précisé ce responsable, en saluant le fait que son pays était dorénavant débarrassé des armes chimiques. Par Jung Ha-Won - © 2016 AFP
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Eclipse : Un dispositif spécifique dans les écoles
18 000 élèves vivront cet instant au sein même de leur établissement scolaire alors, la Ville de Saint-Denis propose un dispositif afin que cette journée se déroule dans les meilleures conditions possibles:
11h30 : Dans l'ensemble des écoles, le personnel communal prendra en charge les enfants comme à l'accoutumée. Pour des raisons de sécurité, des sandwichs seront distribués aux enfants permettant ainsi un retour dans les classes dès 12h05 : Rideaux tirés et enfants surveillés, c'est la période de "confinement".
13h15 : Retour des enseignants. Selon les classes, ces derniers organiseront un temps d'observation de l'éclipse.
15h00 : C'est la fin des cours. Le personnel communal reprend le relais auprès des enfants.
15h45 : Fin de l'éclipse
Les parents qui le souhaitent auront également la possibilité de récupérer leurs enfants à 11h30 en le signalant au secrétariat de l'école. Exceptionnellement et pour une question de sécurité, les autres enfants resteront dans les classes jusqu'à la fin de l'éclipse soit 15h45.
Pour que cet évènement devienne un vrai temps de pédagogie, la Ville a travaillé en amont avec les différents partenaires. Une réunion d'information a notamment eu lieu avec l'ensemble des référents animateurs du service périscolaire de la Ville et le Président de l'Association Astronomique de la Réunion, Michel Vignand.
Pendant les vacances, les animateurs avec l'aide de l'association Les Petits Débrouillards, ont réalisé près de 80 supports d'observation (distribués par la suite dans les écoles qui en avaient fait la demande) et ont suivi une formation sur l'éclipse.
Ce jeudi, ils seront plus de 90 (animateurs formés, mis à disposition ou référents) dispatchés dans les établissements scolaires pour faire vivre le spectacle aux enfants dionysiens.
A noter que le Rectorat distribue depuis le début de semaine les lunettes homologuées dans toutes les écoles et qui permettront aux enfants de regarder le spectacle en toute sécurité. Ces lunettes ne seront en revanche pas distribuées aux élèves de maternelle car elles ne sont pas adaptées aux tout petits.
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Soupçons d'achats de voix : Maurice Gironcel relaxé par le tribunal correctionnel
Pour rappel, après les élections, le tribunal administratif avait décidé de ne pas annuler le scrutin. Daniel Alamélou, le candidat qui se présentait face à lui lors des dernières élections, avait alors déposé une plainte au pénal. Les soupçons étaient notamment fondés sur l'enregistrement audio d'une dame. L'avocat de Maurice Gironcel, maître Rémi Boniface, soutient que son client est tombé dans un piège. Le tribunal lui a donné raison et a relaxé le maire de Sainte-Suzanne
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Autriche: culte et kitsch, l'empereur contre-attaque
Jusqu'au 21 novembre, date anniversaire de sa mort à l'âge canonique de 86 ans, impossible d'échapper au recordman de la dynastie des Habsbourg, qui régna 68 ans sur l'Autriche-Hongrie, un empire multi-ethnique de 50 millions d'habitants dont il accompagna l'apogée et le déclin.En Autriche, 2016 est l'année François-Joseph, auquel pas moins de six expositions sont consacrées.En temps normal, le souverain est déjà une figure familière des Viennois : quand ce n'est pas une statue à son effigie qui surgit au détour d'un parc, c'est son nom ou ses initiales "FJ I" qui s?affichent au fronton des nombreux bâtiments officiels inaugurés sous son règne.Sur les cartes postales, magnets et autres boîtes de chocolats des échoppes touristiques, c'est son image qu'on retrouve, sanglé dans un uniforme militaire, aux côtés de sa femme, l'impératrice Elisabeth (Sissi). Sur le fronton du parlement, c'est encore lui, vêtu d'une toge cette fois, qui vaut à ce relief le surnom de "François-Joseph en chemise de nuit".A Bad Ischl, élégante station thermale au sud de Salzbourg, où François-Joseph et Sissi avaient leur résidence d'été, le mythe revit chaque année en août: quatre jours de fêtes en costumes d'époque avec arrivée du faux couple impérial en train à vapeur et interprétation de l'ancien hymne austro-hongrois.Et en octobre, lorsque l'Autriche aura élu son président de la République, c'est dans l'ancien palais impérial viennois du Hofburg, à quelques mètres des bureaux historiques de François-Joseph, que le nouveau chef de l'Etat prendra ses fonctions.- Vieille école et nouveau monde -Au-delà de ces réminiscences, les expositions organisées à Vienne, accompagnées d'une avalanche de publications, tentent un bilan de ce règne charnière dans l'histoire nationale et européenne.Car lorsque François-Joseph, né en 1830, monte sur le trône en 1848, "l'époque est aux voyages en diligence. Lorsqu'il meurt en 1916, il y a des voitures, des avions, le cinéma, le téléphone, Freud, Kafka et Wittgenstein", le monde a changé, résume le quotidien Die Presse.L'empereur qui se définissait lui-même comme "le dernier monarque de la vieille école" aura vu durant son règne 150 autres souverains accéder puis quitter le trône à travers le monde.Et la double monarchie austro-hongroise, mise sur pied en 1867 pour unir une douzaine de peuples et autant de langues, se désintègrera dans la furie de la Première guerre.Le 28 juillet 1914, François-Joseph signa la déclaration de guerre à la Serbie, qui, par le jeu des alliances, déclencha un conflit mondial, fatal au règne des Habsbourg.Le successeur de François-Joseph, son petit-neveu Charles 1er, dernier empereur d'Autriche-Hongrie, règnera deux ans. Mais c'est une dimension quasi mythique et un peu kitsch que le vieux monarque aux rouflaquettes a laissée dans l'imaginaire moderne."Pour les Autrichiens, c'est une figure dépolitisée, qui ne suscite pas de nostalgie monarchiste, mais une nostalgie du passé, du bon vieux temps, entretenue par un habile marketing", observe Karl Vocelka, auteur d'une récente biographie de l'empereur et commissaire d'une des expositions qui se tient au château de Schönbrunn.- Rayonnement culturel -Au tournant du XXe siècle, le rayonnement culturel de Vienne en faisait l'égale de Paris, Londres ou Berlin.Des écrivains, comme Joseph Roth ou Stefan Zweig, ont entretenu le souvenir de ce "monde d'hier" plus fort et rassurant que celui de l'entre-deux-guerres, et naturellement associé au dernier grand souverain de la dynastie Habsbourg.Une exposition à la Bibliothèque nationale souligne toutefois le culte de la personnalité imposé durant le règne du monarque, dont l'image ornait la moindre école, caserne, gare, auberge.Une "propagande", selon l'exposition, qui sut se servir de la révolution photo et cinéma: "François-Joseph est le premier empereur dont on connaît la voix et le visage autrement que par des peintures à l'huile", souligne Karl Vocelka.Pour son centenaire, il a son hashtag #Françoisjoseph2016 et ses comptes dédiés sur twitter.L'action de l'empereur est jugée sévèrement par l'hebdomadaire Profil qui le décrit en "monarque impuissant" devant les bouleversements de son époque. Un souverain "modérément talentueux" pour des défis extraordinaires, commente Die Presse, qui tout, comme les expositions, prend ses distances avec le mythe construit autour du "dernier" empereur autrichien.Par Sophie MAKRIS - © 2016 AFP
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Elections à la CCIR - Une union avec Fedaction et la Capeb
La CGPME a choisi de réunir la presse mardi 30 août 2016, pour annoncer qu’elle s’engage dans les élections consulaires. Si ses priorités restent les mêmes, accompagner, valoriser, fédérer et défendre les TPE/PME, elle souhaite aujourd’hui élargir son champ d’action en s’associant avec FEDACTION et la CAPEB.
Rompre l’isolement des entrepreneurs, faciliter l’accessibilité des TPE/PME à la commande publique avec le SBA, faire bénéficier les TPE/PME d’avantages fiscaux… telles sont les missions de la CGPME au quotidien. Alors que l’organisation est sur le terrain, auprès des entrepreneurs, elle mesure aujourd’hui que cet engagement doit aller plus loin, pour participer activement au développement des PME / TPE réunionnaises, et du territoire dans son ensemble.
" Nous voulons participer au développement du territoire, en oeuvrant à la CCIR, pour les TPE PME. Tout comme nous sommes présents au quotidien auprès des entrepreneurs, nous souhaitons défendre leurs intérêts dans toutes les instances où ils peuvent être représentées.
Aujourd’hui bien plus qu’hier, la loi Notre, et les nouvelles organisations territoriales qui en découlent, donnent du pouvoir à la CCI qui semblait en avoir perdu dans la pensée commune. Nous nous devons donc d’être présents et prendre nos responsabilités pour ces prochaines échéances ", explique Pascal Plante, candidat à la CCIR pour la CGPME Réunion.
Sur la feuille de route de la CGPME Réunion : la poursuite de son engagement pour le SBA, le " consommer local " et enfin l’élargissement des bénéfices de la Lodeom aux commerces. Tout comme le SBA est un symbole du développement local, qu’elle a placé au cœur de son action, la CGPME Réunion souhaite mobiliser ses forces dans ce nouveau combat fiscal. Persuadée que ce dispositif peut être essentiel pour l’avenir des commerces de proximité, la CGPME pense qu’il est également primordial en termes de structuration du territoire, en étant par exemple étroitement lié à l’avenir des centre-villes et au développement des zones rurales.
Pour mener ce combat notamment, Fedaction et la Capeb semblent des alliés naturels pour la CGPME Réunion. Son tissu éco est composé de petits et moyens commerçants, concernés par ces mesures. C’est pourquoi elle souhaite prolonger et élargir avec ces mouvements syndicaux, les actions déjà entreprises.
CGPME
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Emmanuel Macron s'apprête à quitter le gouvernement
Contactés par l'AFP, les entourages de François Hollande, Manuel Valls et M. Macron se sont refusés à tout commentaire. Trois ministres contactés par l'AFP ont toutefois considéré ce départ comme fort probable. "Emmanuel Macron, départ imminent", écrivent Les Échos dans leur édition de mardi. Selon le site internet de Marianne, le ministre de l?Économie va présenter sa démission à François Hollande ce mardi à 15h00.Énarque (promotion Senghor 2004) et inspecteur des finances, ancien secrétaire général adjoint et conseiller économique de François Hollande à l?Élysée, M. Macron avait été nommé ministre de l?Économie et du Numérique en août 2014 en remplacement d'Arnaud Montebourg.Son passage à Bercy fut marqué par l'adoption d'une loi sur "la croissance et l'activité", mais aussi par de nombreuses déclarations dénoncées par une partie de la gauche et une rivalité croissante avec le Premier ministre Manuel Valls, figure comme lui de l'aile réformiste du PS.En avril, M. Macron a créé le mouvement politique "En Marche" avec notamment un meeting parisien le 12 juillet au cours duquel il avait promis à ses soutiens "la victoire" en 2017.Le 18 mai, le sénateur-maire (PS) de Lyon Gérard Collomb, un de ses principaux soutiens, avait déclaré que M. Macron serait "naturellement" candidat à l'Elysée en 2017 si François Hollande ne remontait pas dans les sondages. Le ministre ne devrait cependant pas participer à la primaire organisée par le PS, selon l'élu.Par Sophie MAKRIS - © 2016 AFP
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Ancelotti vs Guardiola: pourquoi le Bayern préfère l'Italien
Certes les débuts sur le banc bavarois du quintuple vainqueur de la Ligue des Champions (dont trois fois comme entraîneur) ont de quoi enthousiasmer. Treize buts marqués pour les trois premiers matchs officiels, zéro encaissé, et un premier titre avec la Supercoupe d'Allemagne.Mais c'est surtout l'attitude de l'Italien, ses efforts -- pleins d'humour -- pour parler allemand et son contact avec ses joueurs que l'on retient en ce début de saison.Vendredi soir, le capitaine du Bayern Philipp Lahm, défenseur, marque le quatrième but de son équipe contre Brême en Bundesliga (6-0). Au micro à la fin du match, Ancelotti se réjouit: "J'ai promis à Philipp Lahm après son superbe but de lui envoyer une bouteille de Champagne!".Réponse de Lahm du tac au tac: "Je l'attend dans mon casier".Il n'en fallait pas plus pour que l'échange devienne un symbole de la nouvelle relation entre entraîneur et stars au Bayern: "Pep était sans alcool, Carlo marche au Champagne", titre le grand quotidien de Munich Süddeutsche Zeitung. Ce que l'attaquant Thomas Müller avait exprimé avec plus de nuances quelques jours plus tôt: "Ancelotti a plus de proximité avec les joueurs. Pep était un peu toujours dans son propre monde, parce qu'il réfléchissait toute la journée à +comment puis-je repositionner mes joueurs de deux ou trois mètres, dans telle ou telle situation de jeu, pour trouver la formule parfaite?+ Une folie positive".Autrement dit, Guardiola, parti à Manchester City à l'intersaison, faisait à ses hommes l'effet d'un champion d'échecs obsédé par la position de ses pièces, et peu soucieux de leurs états d'âmes. - "Les chaînes de Guardiola" -Tout le contraire d'Ancelotti, sorte de "Pater familias" de 57 ans à qui l'on peut se confier si nécessaire. "Oui, on peut", confirme Müller, "mais on ne vient pas à l'entraînement au Bayern pour raconter sa vie à l'entraîneur".Ancelotti, dans son livre (En français sous le titre: "Mes secrets d'entraîneur"), insiste sur l'aspect humain de son métier. "Les joueurs sont la clé", dit-il. "Carlo Ancelotti est un cadeau pour le club", a déjà dit de lui Franck Ribéry, "vraiment un bon entraîneur, une grande personnalité, une bonne personne. Il nous apporte ce qui nous a un peu manqué à nous autres joueurs auparavant. Depuis qu'il est arrivé, je me sens plus en confiance".D'autres avant le Français avaient été tout aussi élogieux. Zlatan Ibrahimovic, qui a connu Ancelotti au Paris SG: "Ce n'est pas seulement un entraîneur, c'est aussi ton ami, il est incroyable". Cristiano Ronaldo, croisé au Real Madrid: "Je souhaite à chaque joueur d'avoir l'occasion de travailler avec lui, parce que c'est un type fantastique, un coach fantastique".Cette "souplesse" dans les relations humaines, on la retrouve aussi dans la façon dont l'Italien dirige le jeu et le groupe. "C'est vrai, nous avons de la liberté sur le terrain et en dehors", se réjouit le défenseur central Mats Hummels.Fini le jeu de possession à outrance et le pressing haut permanent des saisons passées. Le nouveau Bayern se replie volontiers, et laisse parler sa vitesse de contre. "Nous laissons d'abord l'adversaire jouer, et ensuite seulement on attaque le ballon, pour avoir plus d'espace vers l'avant", détaille le gardien Manuel Neuer."En fait, j'ai changé très peu de choses dans cette équipe", a commenté Ancelotti, modeste, après le 6-0 contre Brême. "C'est une équipe formidable. Nous avons juste essayé de jouer un peu plus verticalement".Très peu de choses? Ou l'essentiel? Pour Mehmet Scholl, vainqueur de la Ligue des Champions 2001 avec le Bayern, "les joueurs prennent du plaisir, Ancelotti les a libérés. Ils se sont dépouillés des chaînes de Guardiola".Par Sophie MAKRIS - © 2016 AFP
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Boucan Canot - Un drone à la recherche des requins
L'enjeu de ces survols est de repérer la présence éventuelle de requins, pour savoir si oui ou non les équipes peuvent plonger afin d'intervenir sur les filets endommagés.
En milieu de matinée, quatre vols, à 150 mètres et 75 mètres de hauteur, avaient déjà été effectués avec un drone par les équipes de Skylab et Seanergie, et s'arrêteront une fois que toute la zone de Boucan Canot aura été balayée par le drone. L'engin, qui a une autonomie d'environ 15 à 20 minutes en vol, a été équipé d'un filtre spécial pour examiner les fonds marins. Pour l'heure, aucun survol n'avait permis d'observer de requin. "On n'a pas vu de requin à l'intérieur des filets, même si on ne peut tirer de conclusion qu'à partir de ces premières images", observe Romain Pinel, de Skylab.
"Les images vont ensuite être analysées sur ordinateur, pour voir si le requin est encore à l'intérieur ou pas", précise Emannuel Eby, directeur d'exploitation chez Seanergie. Si les équipes ont la certitude qu'aucun requin ne se trouve dans la zone, elles plongeront demain. "Mais si on n'a pas de visibilité, l'intervention sera reportée à la semaine prochaine parce qu'on a une nouvelle houle qui arrive à partir de jeudi", conclut Emmanuel Eby.
www.ipreunion.com
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Somalie: au moins 5 morts dans un attentat-suicide à Mogadiscio
"Grâce à Dieu, le nombre de victimes est limité par rapport à la force de l'explosion, qui a été énorme", a déclaré à l'AFP Mohamed Abdulkadir, un policier somalien. "Nous avons confirmation de cinq morts, dont des gardes de sécurité".Par Sophie MAKRIS - © 2016 AFP
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Lait: arrêt des actions menées par les agriculteurs en France
"Comme Lactalis a fait un pas, on en fait un aussi", a indiqué un porte-parole du principal syndicat agricole. Les producteurs avaient multiplié depuis lundi les actions de blocage des sites Lactalis et les actions de sensibilisation des consommateurs sur tout le territoire.Par Sophie MAKRIS - © 2016 AFP
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Toulouse: un policier poignardé dans un commissariat, une interpellation
Le policier a été poignardé dans la zone d'accueil du commissariat de la rue du Rempart St-Etienne, en plein centre, a-t-on précisé de même source. Un homme a été interpellé, a ajouté la police, sans donner plus de précisions sur les circonstances.Par Sophie MAKRIS - © 2016 AFP
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Fermeture des écoles le jour de l'éclipse
En raison de la grève des enseignants du primaire sur la Commune de Saint-André et au vu des informations officielles transmises par le Rectorat de la Réunion que le mouvement de grève des enseignants soit suivi à 25% dans les 28 écoles et 100% dans 13 écoles , dès lors que le taux de grévistes dépasse les 25 %, la municipalité est tenue de compenser l'absence des enseignants par du personnel communal. Compte tenu du danger de l'éclipse et du nombre de professeurs manquant, les conditions de sécurité ne pourront pas être remplies par le personnel communal qui n'a pas été formé pour cela.
Considérant que la sécurité et la santé des enfants ne seront pas assurées, le Maire Jean Paul Virapoullé a pris un arrêté de fermeture N°417/2016 de toutes les écoles maternelles, élémentaires, primaires, publiques et privées sur tout le territoire de Saint-André ce jeudi 1er septembre 2016.
Les écoles resteront accessibles aux enseignants de l'éducation nationale et aux membres du personnel communal.
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Macron a présenté sa démission, Sapin nommé ministre de l'Economie
Par Sophie MAKRIS - © 2016 AFP
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